La variété des activités que l’on peut recenser dans le métier d’avocat en font un métier d’une richesse infinie mais aussi d’un complexité à gérer rarement égalée. En effet, pour chacune de ces activités correspondent des documents juridiques d’une variété telle qu’il est absolument illusoire de vouloir disposer de leur intégralité.

La nécessité s‘impose donc d’avoir un panel minimaliste des actes du droit qui sont majoritairement utilisés par les avocats en général. A ce panel,  chaque cabinet ou chaque avocat doit pouvoir intégrer les documents spécifiques et propres à son activité et à ses clients.

Une solution dédiée aux avocats efficace est donc celle qui regroupe un panel significatif et complet sur certains points de droit et qui sait intégrer tout ce que les avocats ont de spécifique en termes de documentation : pour des raisons de responsabilités, certains avocats préfèrent utiliser leurs propres modèles plutôt que ceux à disposition chez certains éditeurs.

En effet, l’éditeur de logiciels n’entend pas se substituer aux avocats en matière de savoir-faire et de compétences : cette expertise est portée par l’avocat ou son cabinet et c’est ce qui fait toute sa valeur.
La valeur ajoutée vient des avocats
Aucun éditeur ne peut se targuer d’avoir tous les actes en standard, même s’il existe souvent des accords avec les éditeurs. Pour autant et malgré l’existence d’une banque de données dans laquelle puiser, un professionnel est responsable de l’exercice de sa profession et ne peut, voire ne doit pas déléguer cette responsabilité à une tierce personne, si reconnue soit-elle.
Chaque avocat est donc responsable de la qualité de ce qu’il va produire : s’il est intéressant d’avoir une bible d’actes externes pour y trouver de l’inspiration, l’enrichissement de cette bible d’acte par des documents spécifiques et personnels issus d’années d’exercice du droit est ce qui fait la valeur du cabinet.
Cet enrichissement personnel est d’autant plus important qu’il est impossible de certifier qu’un acte est juste tant sa durée peut être limitée dans le temps. En cela, les logiciels qui mettent en avant tous les actes ne sont non seulement pas utiles mais représentent en plus une source de danger potentielle.
Organiser les flux pour produire en masse

Le rôle de l’éditeur de logiciels est donc d’aider les avocats à organiser leur flux et produire le même document sur de la masse, quel que soit le nombre de documents à intégrer. Il est donc indispensable d’opter pour une solution ouverte.

Toutefois, et parce qu’un avocat qui débute dans le métier ne peut se targuer d’avoir déjà en sa possession tous les actes nécessaire à l’exercice de sa profession, le logiciel doit inclure un socle de base qui regroupe quelques centaines de documents sur la dernière instance ou ce qui existe sur certains types de procédures.

A travers sa solution PORTALIS, Akantha propose une bible d’acte déjà étoffée et permet l’intégration d’un nombre illimité d’actes personnels. N’hésitez pas à nous contacter pour davantage d’information.