Les opérations de contrôle des activités sont chronophages et, selon la taille des cabinets, rester dans une logique de gestion manuelle devient absolument impossible, tant le nombre de procédures en cours est important.
Pour éviter les sources d’erreur, dramatiques en terme de conséquences comme de responsabilité, liées à la tenue manuelle d’agenda ou au contrôle de régularité des procédures en général, la nécessité d’industrialiser les processus de contrôle s’impose. Concrètement, il faut se doter d’une solution informatique qui va venir simplifier et automatiser la gestion du cabinet.
Si l’on prend l’exemple des procédures d’appel ou des saisies immobilières, celui des procédures de droit civil ou de droit commercial, les délais et cadencements avec calendriers d’étapes imposées ainsi délais imposés par la juridiction à respecter sont des procédures archi-complexes. Et elles représentent quelque 70% de l’activité.